photos de anissa lehmkuhl
Né le 7 mai 1981, Moulay Ismaïl est le fils de feu Moulay Abdallah, frère cadet de feu Hassan II, et de la Princesse Lamia Solh, fille de Riad Bey Solh, Premier ministre libanais assassiné en Jordanie en 1951. Moulay Ismaïl représente un charmant métissage entre le Maroc et le Liban. Avec son frère Moulay Hicham et sa sœur Lalla Zineb, il a reçu une éducation moderne, ouverte sur le monde et sur les langues étrangères. C’est feu Hassan II qui s’occupera de lui après la tragique disparition de son père le Prince Moulay Abdallah, le 20 décembre 1983, comme le veulent la tradition royale et la religion musulmane. Hassan II sera plus qu’un oncle ou un tuteur, un second père. Moulay Ismaïl n’aura presque jamais connu son vrai père. À l’époque, il avait seulement deux ans, alors que Moulay Hicham en avait 18 ans et Lalla Zineb 12. Le choc fut terrible pour la petite famille.
Si la Princesse Lamia Solh a veillé personnellement sur la scolarité de ses enfants et leur progression dans la vie, Hassan II les a orientés et assistés. Mais, le destin a frappé encore une fois. Alors que Moulay Ismaïl atteignait ses 18 ans, son père adoptif décède, en juillet 1999. Déjà tout petit, le Prince, coquettement habillé d’une djellaba blanche et coiffé d’un fez rouge, apparaissait derrière feu Hassan II, aux côtés de SM le Roi Mohammed VI, alors Prince héritier, et SAR le Prince Moulay Rachid. Les téléspectateurs sont habitués, encore aujourd’hui, à le voir accomplir la prière à la mosquée Ahl Fès au Mechouar du palais royal, à Rabat, à chaque cérémonie religieuse. Fort discipliné, le petit Prince a développé un strict respect pour le protocole royal et les traditions inculquées par son oncle paternel.
Un peu moins que son frère et sa sœur, Moulay Ismaïl a fait plusieurs séjours au Liban. Sa mère y tenait beaucoup pour garder le contact avec ses racines.
L’engagement social du Prince, c’est de sa mère, la gracieuse Princesse Lamia, qu’il l’a hérité. Elle-même présidente de l’Organisation pour la protection des aveugles au Maroc (OPAM), bataille encore pour améliorer leurs conditions au sein de la société. La scolarité du Prince s’est déroulée sans le moindre souci. Du collège royal de Rabat où il a obtenu son baccalauréat, il s’est dirigé vers l’Angleterre pour suivre une formation militaire dans une prestigieuse école. Mais, apparemment, ce n’était pas sa tasse de thé. Moulay Ismaïl trouve finalement sa vocation à l’université Al Akhawayn.
Contrairement à son frère aîné, Moulay Hicham, qui enchaîne les sorties médiatiques fracassantes, Moulay Ismaïl a fait le choix de la discrétion. A Ifrane, où il a fait ses études supérieures, comme à Rabat où il vit dans une résidence privée au quartier Bir Qacem, Moulay Ismaïl a une attitude contenue et ne fait pas parler de lui. Il entretient de bons rapports avec sa famille et fréquente un cercle d’amis triés sur le volet.
Selon ses proches connaissances, Moulay Ismaïl est un mordu des belles voitures. Il en change régulièrement et alterne à volonté les véhicules du style sport et les berlines. Un jour, c’est avec une Mini Cooper noire qu’il débarque dans la grande cour d’Al Akhawayn et un autre, c’est le ronronnement d’une Jaguar couleur prune qui résonne. Comme tout fana de voitures, il aime conduire seul. Moulay Ismaïl est aussi un passionné de tennis. Il était souvent perçu dans les cours de tennis du complexe sportif de l’université en train de jouer torse nu. Le Prince se fait aussi remarquer par son look changeant selon son humeur. Il lui arrive souvent de troquer le bleu, le gris et le noir, contre les couleurs vives et gaies. Le costume conventionnel peut être volontiers changé contre un blue-jean délavé et une chemise orange ou jaune. Sa barbe naissante ajoute à son charme. «Ce qui frappe chez Moulay Ismaïl, c’est son style décontracté et très branché. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’est jamais passé inaperçu à l’université. Pour couronner le tout, il fait preuve d’une gentillesse propre aux grands cœurs. Il a naturellement la cote auprès de toutes les filles», témoigne une lauréate d’Al Akhawayn. Il est, de l’avis de ses camarades, un jeune homme accessible, direct et détendu, plus proche de son entourage que de la politique et des sérails du pouvoir. A ses cours, il était aussi régulier que le lui permettaient les exigences protocolaires de sa vie de Prince. Ses absences étaient souvent dictées par sa participation à un événement familial, comme sa présence à la cérémonie de circoncision du Prince héritier Moulay Hassan à Fès, ou encore le récent baptême de l’enfant de sa sœur Lalla Zineb. Dans la vie, il sait rester simple, mais garde son allure princière. A la cafétéria, comme au restaurant ou au complexe sportif d’Al Akhawayn, Moulay Ismaïl était toujours entouré de son cercle d’amis. Le jeune Prince aime la musique et la belle ambiance. Il profite sagement de sa jeunesse, tout en préservant son intimité et ses rapports avec sa famille.
A Rabat, il s’affiche rarement dans des endroits publics et organise plutôt des soirées privées dans sa résidence où il invite ses amis. Il aime aussi voyager, surtout en Angleterre, qui reste l’une de ses destinations favorites. L’université Al Akhawayn a acquis plus de prestige en comptant Moulay Ismaïl parmi ses lauréats
mariage
Né le 7 mai 1981, Moulay Ismaïl est le fils de feu Moulay Abdallah, frère cadet de feu Hassan II, et de la Princesse Lamia Solh, fille de Riad Bey Solh, Premier ministre libanais assassiné en Jordanie en 1951. Moulay Ismaïl représente un charmant métissage entre le Maroc et le Liban. Avec son frère Moulay Hicham et sa sœur Lalla Zineb, il a reçu une éducation moderne, ouverte sur le monde et sur les langues étrangères. C’est feu Hassan II qui s’occupera de lui après la tragique disparition de son père le Prince Moulay Abdallah, le 20 décembre 1983, comme le veulent la tradition royale et la religion musulmane. Hassan II sera plus qu’un oncle ou un tuteur, un second père. Moulay Ismaïl n’aura presque jamais connu son vrai père. À l’époque, il avait seulement deux ans, alors que Moulay Hicham en avait 18 ans et Lalla Zineb 12. Le choc fut terrible pour la petite famille.
Si la Princesse Lamia Solh a veillé personnellement sur la scolarité de ses enfants et leur progression dans la vie, Hassan II les a orientés et assistés. Mais, le destin a frappé encore une fois. Alors que Moulay Ismaïl atteignait ses 18 ans, son père adoptif décède, en juillet 1999. Déjà tout petit, le Prince, coquettement habillé d’une djellaba blanche et coiffé d’un fez rouge, apparaissait derrière feu Hassan II, aux côtés de SM le Roi Mohammed VI, alors Prince héritier, et SAR le Prince Moulay Rachid. Les téléspectateurs sont habitués, encore aujourd’hui, à le voir accomplir la prière à la mosquée Ahl Fès au Mechouar du palais royal, à Rabat, à chaque cérémonie religieuse. Fort discipliné, le petit Prince a développé un strict respect pour le protocole royal et les traditions inculquées par son oncle paternel.
Un peu moins que son frère et sa sœur, Moulay Ismaïl a fait plusieurs séjours au Liban. Sa mère y tenait beaucoup pour garder le contact avec ses racines.
L’engagement social du Prince, c’est de sa mère, la gracieuse Princesse Lamia, qu’il l’a hérité. Elle-même présidente de l’Organisation pour la protection des aveugles au Maroc (OPAM), bataille encore pour améliorer leurs conditions au sein de la société. La scolarité du Prince s’est déroulée sans le moindre souci. Du collège royal de Rabat où il a obtenu son baccalauréat, il s’est dirigé vers l’Angleterre pour suivre une formation militaire dans une prestigieuse école. Mais, apparemment, ce n’était pas sa tasse de thé. Moulay Ismaïl trouve finalement sa vocation à l’université Al Akhawayn.
Contrairement à son frère aîné, Moulay Hicham, qui enchaîne les sorties médiatiques fracassantes, Moulay Ismaïl a fait le choix de la discrétion. A Ifrane, où il a fait ses études supérieures, comme à Rabat où il vit dans une résidence privée au quartier Bir Qacem, Moulay Ismaïl a une attitude contenue et ne fait pas parler de lui. Il entretient de bons rapports avec sa famille et fréquente un cercle d’amis triés sur le volet.
Selon ses proches connaissances, Moulay Ismaïl est un mordu des belles voitures. Il en change régulièrement et alterne à volonté les véhicules du style sport et les berlines. Un jour, c’est avec une Mini Cooper noire qu’il débarque dans la grande cour d’Al Akhawayn et un autre, c’est le ronronnement d’une Jaguar couleur prune qui résonne. Comme tout fana de voitures, il aime conduire seul. Moulay Ismaïl est aussi un passionné de tennis. Il était souvent perçu dans les cours de tennis du complexe sportif de l’université en train de jouer torse nu. Le Prince se fait aussi remarquer par son look changeant selon son humeur. Il lui arrive souvent de troquer le bleu, le gris et le noir, contre les couleurs vives et gaies. Le costume conventionnel peut être volontiers changé contre un blue-jean délavé et une chemise orange ou jaune. Sa barbe naissante ajoute à son charme. «Ce qui frappe chez Moulay Ismaïl, c’est son style décontracté et très branché. Ce qui est sûr, c’est qu’il n’est jamais passé inaperçu à l’université. Pour couronner le tout, il fait preuve d’une gentillesse propre aux grands cœurs. Il a naturellement la cote auprès de toutes les filles», témoigne une lauréate d’Al Akhawayn. Il est, de l’avis de ses camarades, un jeune homme accessible, direct et détendu, plus proche de son entourage que de la politique et des sérails du pouvoir. A ses cours, il était aussi régulier que le lui permettaient les exigences protocolaires de sa vie de Prince. Ses absences étaient souvent dictées par sa participation à un événement familial, comme sa présence à la cérémonie de circoncision du Prince héritier Moulay Hassan à Fès, ou encore le récent baptême de l’enfant de sa sœur Lalla Zineb. Dans la vie, il sait rester simple, mais garde son allure princière. A la cafétéria, comme au restaurant ou au complexe sportif d’Al Akhawayn, Moulay Ismaïl était toujours entouré de son cercle d’amis. Le jeune Prince aime la musique et la belle ambiance. Il profite sagement de sa jeunesse, tout en préservant son intimité et ses rapports avec sa famille.
A Rabat, il s’affiche rarement dans des endroits publics et organise plutôt des soirées privées dans sa résidence où il invite ses amis. Il aime aussi voyager, surtout en Angleterre, qui reste l’une de ses destinations favorites. L’université Al Akhawayn a acquis plus de prestige en comptant Moulay Ismaïl parmi ses lauréats
mariage
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire