le dernier film
Rentré transformé de la projection de Good-Bye Drangon Innde Tsai Ming-Liang, j’ai tellement peur de ne pas me souvenir de toutes ces impressions indicibles, de ce plaisir sans borne à ces images à la fois intelligentes, belles et poétiques, que je prends quelques notes à leur sujet sur le premier papier que je trouve dans la pénombre de la cuisine. C’est d’autant plus idiot que le lendemain matin les images du film m’habitent davantage encore, elles sont non seulement prégnantes elles déteignent. C’est de fait en buvant mon thé ce matin, j’allume mon ordinateur dans le but de retranscrire ces notes, seulement lisibles par moi, le chargement du système est long, le thé est chaud qui me brûle un peu, je m’aperçois que je ne comprends que maintenant certains détails du récit.
Rentré transformé de la projection de Good-Bye Drangon Innde Tsai Ming-Liang, j’ai tellement peur de ne pas me souvenir de toutes ces impressions indicibles, de ce plaisir sans borne à ces images à la fois intelligentes, belles et poétiques, que je prends quelques notes à leur sujet sur le premier papier que je trouve dans la pénombre de la cuisine. C’est d’autant plus idiot que le lendemain matin les images du film m’habitent davantage encore, elles sont non seulement prégnantes elles déteignent. C’est de fait en buvant mon thé ce matin, j’allume mon ordinateur dans le but de retranscrire ces notes, seulement lisibles par moi, le chargement du système est long, le thé est chaud qui me brûle un peu, je m’aperçois que je ne comprends que maintenant certains détails du récit.
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